Un «serious-game» ça veut dire : jeux sérieux, en anglais.
C’est un jeux de carte ou de plateau, comme le Monopoly ou La Bonne Paye, où on intègre des connaissances ou des compétences à acquérir pendant le jeu.
Les élèves :
Les professeurs :
Comprendre les évènements historiques, et retenir les dates
C’était quand la chute de l’empire romain d’occident ? C’est quoi la légende le la fondation de l’empire romain ?
Voici un jeu de phrise chronologique. Avec ce jeu, vous pouvez apprendre les enchainements d’évènements historiques, et (enfin) retenir les dates !
Comprendre les éléments chimiques, et retenir les numéros atomiques
Voici un jeu de bataille navale. Avec ce jeu, vous pouvez apprendre comment fonctionne le tableau périodique des éléments en chimie, et retenir les numéros atomiques importants.
Développer le calcul mental
Réviser la géométrie, les problèmes du quotidien… tout en s’amusant !
Comprendre le fonctionnement du cycle cellulaire, et retenir les phases
Voici un jeu de collaboration. Apprendre les cycles cellulaires (mitose et méïose), et enfin comprendre et retenir les cycles cellulaires !
Voilà, les exemples s’arrêtent ici
On ne va pas tout vous dévoiler non plus…
Si vous êtes professeur, vous pouvez :
Créer votre propre outil/jeu de qualité professionnelle gratuitement pour vos classes.
Des Serious-games pour les professeurs, dans les classes.
Apprendre en oubliant qu’on apprend
Le jeu est bien plus engageant qu’un cours à réviser, ou des exercices à refaire.
Il est si bien conçu, qu’on en oublie presque sa fonction principale : vous faire apprendre !
Un condensé d’ingénieurie pédagogique
Précision et Clarté
Chaque jeu intègre un design clair, des règles rapides et faciles à comprendre, et un démarrage au jeu simple.
Il met en jeu les Neurosciences et les Sciences de l’Éducation, pour vous permettre d’avoir un jeu le plus performant possible.
Est-ce que les notions abordées sont au programme ?
Oui, je dirais même plus
Comme ils sont fait par des professeurs, les jeux sont au programme.
Le petit + : Ils forment par exemple les étudiants sur les méthodes d’apprentissage, «comment apprendre à apprendre». Le cadre permet d’acquérir des compétences sociales transversales comme la collaboration, le travail en équipe, l’empathie etc.